Comme si elle portait tout le malheur du monde sur son dos, ça pèse lourd et elle se cambre. Elle se cambre devant eux, devant ces gens du paysage, devant ceux qui l'accompagne. Elle se cambre parce qu'elle a peur, elle a peur que ça disparaisse, que ces gens s'effacent de son tableau.
Un individu se forme à partir de tout ceux qu'elle rencontre, et son tableau se dessine par leurs visages. Mais il y a des visages qui ont perdu leur couleur, d'autre qu'on ne voit presque plus, il y en a même recouverts d'une petite tâche noire. Les explications sont nombreuses, la seule chose sûre c'est que chacune d'elles est douloureuse.
Un individu se forme à partir de tout ceux qu'elle rencontre, et son tableau se dessine par leurs visages. Mais il y a des visages qui ont perdu leur couleur, d'autre qu'on ne voit presque plus, il y en a même recouverts d'une petite tâche noire. Les explications sont nombreuses, la seule chose sûre c'est que chacune d'elles est douloureuse.
Magnifique poème !
RépondreSupprimerMais vous avez fait une faute à "voix" que vous avez écrit "voie"